La Culture burundaise

la culture burundaise est basée sur les traditions locales et influencée par les pays voisins. La tradition orale est forte et relaie histoire et leçons de vie grâce aux contes, à la poésie et au chant.





















L'agriculture burundaise

L'agriculture étant la principale industrie au Burundi, un repas burundais typique se compose de patates douces, maïs, pois et le haricot rouge.
Ce dernier est l'aliment de base au Burundi. Les familles en mangent presque chaque jour.

Lorsque les Burundais se retrouvent avec quelques intimes, ils boivent de l' impeke, une bière servie dans un pot unique. Chaque personne y trempe sa paille en symbole d'unité.



Art et litterature au Burundi

Les contes, fables, légendes et poèmes sont importants dans la culture du Burundi. Ils permettent de se rappeler les ancêtres.

Le tambour est l'instrument privilégié du Burundi. Il était autrefois un instrument sacré. La danse est aussi importante lors des célébrations.
 Il en existe 3 : l'abatimbo (réservée aux cérémonies officielles), l'intore (danse guerrière) et l'abanyagasimbo (danse acrobatique).

L'artisanat est réputé au Burundi. On y fabrique des tambours, des masques, des boucliers, des statuettes, des poteries et des paniers.



Religions et croyances au burundi

Les lois du pays permettent la liberté de culte aux Burundais.
 Le christianisme est la religion la plus importante du Burundi, mais on trouve peu d'églises dans les campagnes. Les mariages sont donc célébrés chez
 les futurs époux.

Plusieurs habitants pratiquent des rituels animistes, rituels reposant sur la croyance que tout sur la terre a une âme.

Dans cette croyance, l'être suprême se nomme Imana, l'esprit des morts est l'Imizimu et le prêtre est le kiranga.

Les rites animistes ont plusieurs buts : guérison, prévention des sécheresses ou des inondations, récoltes importantes, chance.



Danses traditionnelles burundaises

Chaque danse féminine ou masculine a une signification qui lui est propre et qui correspond à un événement précis ou à une profession bien déterminée.

Le chant, le rythme, l’expression corporelle, les mines sont autant de signes distincts adaptés à chaque circonstance et recherchés pour toucher à la fois le sens esthétique et l’esprit.

Les dames et demoiselles montrent des évolutions chorégraphiques dans lesquelles l’élégance et la souplesse des inyambo (c’est-à-dire les vaches aux longues cornes, bêtes quasi sacrées dans le Burundi traditionnel) rivalisent avec les trépidations du train-train de la vie rurale que mènent les Barundi.

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